Ce film choc et essentiel
ose parler d'un tabou très peu abordé et parmi les plus
alinéants (j'ai laissé le lapsus) de l'inceste : celui
du sentiment de culpabilité vécu à travers la sensation
de plaisir sexuel ressentie durant l'agression en dépit de la
répugnance que celle-ci inspire. Au début, l'auteure,
Michelle Desaulniers, se raconte, se réapproprie son passé
et laisse d'autres survivants et survivantes de l'inceste parler du
silence et de la culpabilité. Un segment émouvant met
en situation une petite fille et un clown féminin. L'enfant symbolise
l'égarement et le clown l'innocence, les rêves d'enfant
auxquels elle n'aura plus accès. Les images traduisent l'errance,
la mouvance intérieure. Et l'histoire continue... dans l'espoir
que chaque histoire se raconte.
Résumé intégralement
extrait du site de l'ONF
http://www.onf.ca/trouverunfilm/fichefilm.php?id=33733&v=h&lg=fr&exp=