Assemblée générale du 15 janvier 2010
Lieu: Maison des associations, rue Greneta, 75002 Paris
Début: 19h
Présents + représentés = 13 Le quorum (11) est donc atteint.
Réception des vœux de la mairie de Paris: réception le 21/01/2010 à 21h30
Ordre du jour:
1) Approbation du compte-rendu de la réunion du 09/10/2010: approbation à l’unanimité par les présents.
2) Présentation des projets déposés lors de la demande de subvention auprès de la mairie de Paris – DASES (sous-direction des affaires familiales).
Voir texte A : nos projets en relation avec le soutien à la parentalité.
Rappel des derniers éléments concernant le suivi de ces demandes: en fait la DASES a bien accepté de nous subventionner (à hauteur de………), et c’est la direction de la Santé qui a envoyé une lettre de refus après avoir reçu un exemplaire de notre demande.
Notre projet essentiel: faire perdurer les groupes de parole.
Des ateliers thématiques: Seltana Aballache proposait d’animer encore deux ateliers (à confirmer).
L’atelier vidéo déjà commencé + L’atelier thématique artistique (analyse d’images notamment dans l’art contemporain): nouveau document de programme de ce 2ème volet de l’atelier et présentation orale.
Le site: audit du site internet. Reste à trouver les moyens (humains et financiers) pour le refondre. 3 réunions seraient nécessaires: contenu éditorial/ cahier des charges: spécification fonctionnelle / cahier des charges: spécification technique/ avant de prendre rendez-vous avec une école multimédia pour livraison du projet à un étudiant (août- septembre?).
Reconduite de l’atelier-peinture.
Nos besoins en formation
3) Proposition d’un poste de « personnes ressources » bénévoles dans le domaine psychologique ( + dans le domaine juridique).
4) Modification des statuts :
– l’article 4 nécessaire: l’adresse doit être mise à jour.
– l’article 16 des statuts: ajouts 16bis. Inscrire l’impossibilité d’occuper une fonction dans le bureau sans être victime d’inceste. Ce point fait débat entre nous: ouvrir plus l’association à des bonnes volontés de « l’extérieur » ou préserver le rapport de proximité entre participants aux groupes, adhérents et membres du bureau, de par leur statut d’anciennes victimes d’inceste se déclarant experts de leur traumatisme. Pour l’heure c’est cette deuxième option qui est retenue, la majorité des adhérents se déclarant très attachés à se principe.